LA CREATION

En dessinant cette pièce comme une mosaïque des sentiments humains, je me laisse la liberté d’aborder le plus universel des drames, comme la plus vicieuses des tragédies, l’amour.

LA SCENOGRAPHIE

La pièce débute, se joue et s’achève dans un espace vide, offrant ainsi à chaque spectateur la possibilité de prendre part à l’histoire, ne rencontrant aucun meuble face à son imagination, faisant tout apparaître, jusqu’à l’invisible. Libre à chacun d’y rencontrer une chambre, un salon, un jardin ou un coin de mémoire.

L’espace scénique est une boite noire, au dessein particulier de n’être qu’un miroir, comme l’objet indispensable à l’observation d’un drame. Aux travers de ce lieu épuré de tout superflu, il nous reste la matière la plus brute, l’émotion.

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