Extrait

« A l’heure où naissent les lueurs d’un jour nouveau, à l’heure où les volets encore clos ne tarissent plus d’éloge, les étoiles du ciel et de la terre, désorientées fuyaient l’orage de la déception. Les feux de joies des bohémiennes imaginées usaient de leurs derniers souffles pour alimenter l’espoir d’une braise.

Mais dans la pénombre des catacombes de mes désirs, quelques tranches de solitudes nourris par l’envie, par ce désir de communion, à deux dans l’infiniment grand. Quelques songes éreintés par tant de rêves sans fin. »

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