Extrait :

« Septembre ne compte plus déjà que sur ses longs dimanches où le sable d’hier ne retient plus de secret que sur les parcelles brisées de vieux coquillages encadrés. Alors que s’endorment, par habitude, les derniers regrets, guettent en moi les tumultes d’un orage déchaîné. Ce calme inhabituel de l’attente en marche qui dans les terres arables de mon ventre entame sa longue progression sur le bûcher qui se cache. »