Le cœur en parcelles il danse, et avec la grâce d’un funambule.

Les jours se passent,
il en compte trente
Inhabités dans le grand respect
de ses mains fatigantes
Où il voit tant de sentiments
à l‘usure déjà prononcée.
Mais, sur le silence
de la monotonie ambiante
Le sentiment perceptible
de quelques conforts étrangers.

Il ne tremble plus, l’hiver arrive…